Publié le : 28 mars 20234 mins de lecture

L’histoire évolue. Celle de la municipalité en fait partie. Ainsi, cette évolution mérite une étude partant de sa source jusqu’à notre époque.

Historique de la municipalité

Étant une institution très ancienne, un peu différente des municipales 2020, on s’est convenu que la tête de liste des éléments municipaux était élu maire. C’est la loi publiée le 14 décembre 1789 qui l’a mis en vigueur. L’idée est conçue du rôle acquis par le major s’acquittant de l’exploitation du seigneur à l’époque mérovingienne. Plus tard, l’autorité royale évoluait le système tout en nominant les magistrats municipaux à la manière de ce qui se passait à la Rome antique au XIIIe siècle. Vers XIXe siècle, l’idée de maire s’étend au point de devenir presque universelle. Sans doute, son rôle ou même son statut change en fonction de l’évolution du temps ou de la structure politique d’aujourd’hui. Oui, le système a subi de profondes transformations au fil du temps au point que Jacques Chirac a fait son entrée en scène en 1977, après une longue absence au poste de 1871 à 1975 en France.

Le parti politique et son rôle dans l’élection

Plusieurs personnes défendant la même idée ou le même point de vue peuvent se regrouper et fonder le parti politique. Elles sont du même clan ou du camp opposé selon qu’elles ont la même conviction politique ou non. Lors d’une assemblée, c’est le bureau politique qui élit le candidat comme représentant légal à l’élection. Pour cela, l’élection à l’intérieur du parti qui en décide et met publiquement au courant son représentant à l’élection. Ce parti politique peut dominer le gouvernement, a la possibilité d’influencer le parlement, même l’opinion publique. Également aussi, le parti politique se traduit par « faction » sur le plan idéologique. Ainsi, pour Benjamin Constant, il utilise le terme « réunion de personnes professant la même conviction politique ».

La réalité partant des faits

Danielle Simonnet, la représentante et conseillère de La France insoumise appellera le mois de septembre des assemblées. La convocation visera la révision de la liste citoyenne à utiliser lors des élections ayant lieu le 15 mars 2020. L’élection vise le renouvellement des éléments constitutifs municipaux tels des conseils municipaux, du conseil. Pour tout candidat voulant y participer, quelques conditions doivent être inconditionnellement mises en examen. Ces conditions sont prévues par la loi ou le décret relatif à l’élection en vigueur sur tout le territoire français. En fait, il doit jouir encore de ses droits civiques. Outre cela, le candidat doit se référer autour des documents que sont les justificatifs aussi bien d’identité que du domicile. Voilà l’application de la stratégie conçue par l’assemblée. Toutefois, la gauche aura-t-elle la sûreté de parvenir à sa fin de manière à conquérir Paris après l’élection ? Bien entendu, c’est le résultat de l’élection qui y répondra.